L'objectif de cette politique et de ces procédures de Protection contre l'exploitation sexuelle, les abus sexuels, harcèlement sexuel (PEASH) est de promouvoir la protection des personnes, en particulier des enfants, des adultes à risque et des autres participants à nos programmes, contre tout préjudice d'exploitation sexuelle, d'abus sexuel et de harcèlement sexuel qui pourrait être causé en raison de leur engagement dans les programmes, les opérations et le personnel de l’ORAF
Cet article vient explorer la manière dont Kamala Harris navigue entre les attaques raciales, la misogynie, et le backlash, tout en restant un espoir auquel s'accrochent les groupes sociaux les plus invisibilisés.
L'ordonnance n°2024-368 du 12 Juin 2024 a établi les nouveaux dispositifs existants en matière d’encadrement des OSC en Côte d’Ivoire. Ce texte a essayé tant bien que mal de répondre aux nouvelles réalités observées sur le terrain. Il faut reconnaître néanmoins que malgré les efforts consentis, elle draine encore certaines failles. Ces faiblesses susmentionnées peuvent entraîner un bilan négatif de cette nouvelle réglementation dans sa mise en œuvre. Cependant, celles-ci, une fois mises en lumière, peuvent être rapidement corrigées. C’est dans ce cadre que cette analyse a été conçue comme un outil qui vise à connaître les avantages et à comprendre les défis liés à la mise en œuvre de l'ordonnance de Juin 2024.
Le principal texte de protection et de promotion des droits des femmes africaines est entré dans l'âge de la maturité. Déjà vingt et une années sont passées depuis sa naissance et le Protocole de Maputo a, tant que bien mal influencé les systèmes juridiques des États signataires. Il reste l'un des plus puissants outils du plaidoyer feministe continental. A l'occasion de ce mois anniversaire, ORAF vous pose l'état des lieux de la plus grande promesse juridique faite aux femmes africaines. Où en sommes nous alors Côte d'Ivoire ?
Ce guide de poche vise à orienter les individus, les organisations de la société civile engagées dans la défense des droits humains, les activistes féministes et les victimes à travers le processus de prise en charge des violences basées sur le genre en Côte d'Ivoire.
Cette analyse permettra de comprendre le fonctionnement du système de prise en charge des survivantes de violences basées sur le genre en Côte d'Ivoire. Elle pose aussi des recommandations pertinentes et ciblées pour tous les acteurs.